Marzuk de l’écrit à l’image à la bibliothèque Nucéra
"Enfin un peu de sérénité et de lumière. Et surtout beaucoup d’amour !" Instant de bonheur lundi soir à la bibliothèque Nucéra pour sa directrice Françoise Michelizza, ravie de consacrer une rétrospective à l’artiste André Marzuk.
Lui-même s’est montré enthousiaste : «Après quarante cinq ans de création, la diversité de mon travail continue de me stupéfier.» De l’écrit à l’image, l’exposition rassemble des panneaux de bois polylobés, des céramiques et des livres. Avec, point d’orgue d’un parcours ponctué par de belles rencontres, un recueil de fragments d’Aimé Césaire.
Enluminé de vingt-deux dessins brûlés par la flamme, cet ouvrage signé par le père de la Négritude existe à quatre exemplaires dont l’un a été présenté à l’Unesco à Paris.
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